Accès direct au TOP à destination des kinésithérapeutes
Le kinésithérapeute, au cours de son raisonnement clinique, et y compris en accès direct en situation d’urgence comme l’autorise la loi pour les kinésithérapeutes depuis janvier 2016, doit être capable de repérer les situations cliniques graves, où l’intervention kinésithérapique pourrait être soit non indiquée soit dangereuse. Ces situations cliniques potentiellement graves sont révélées par des signes cliniques nommés red flags.