Questionnaire d'évaluation post-formation Stabilité au TOP

Stabilité au TOP - Questionnaire post-formation

Suite à la formation Stabilité au TOP que vous avez suivie, ce questionnaire vous et nous permettra d'évaluer si vous avez bien assimilé le contenu de cette formation.

Pour chaque question, une ou plusieurs réponses proposées sont exactes.

Afin de pouvoir correctement évaluer vos connaissances après votre formation, merci de bien vouloir nous laisser vos informations personnelles ci-dessous.

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Concernant l’instabilité antérieure de l’épaule, quelle(s) affirmation(s) sont juste (s) ?

1. Une bonne masse musculaire empêche la récidive

2. Les patients hyperlaxes ont moins de risque de se reluxer

3. Les patients souffrant d’une fracture de la grande tubérosité post luxation ont plus de chance de se re-luxer

4. En dessous de 20 ans, le taux de récidives est extrêmement élevé

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Quelle(s) affirmation(s) sont juste(s) concernant la stabilisation d’épaule de type Latarjet ?

1. Permet un triple verrouillage

2. Le mode opératoire sous arthroscopie est plus rapide et plus facile à mettre en place qu’à ciel ouvert

3. Est un déplacement de la coracoïde sur la face antérieure de la glène, en laissant attachée sur elle le petit pectoral et le ligament coraco-brachial

4. N’est pas adapté aux sports de contact

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Concernant l’instabilité antérieure d’épaule, quelle(s) affirmation(s) sont juste(s) ?

1. Si les tests d’appréhension et relocation sont positifs, ils permettent d’inclure une instabilité antérieure d’épaule avec une très forte probabilité

2. L’atteinte neurologique la plus souvent rencontrée est celle du nerf axillaire : nerf moteur du deltoïde et infra épineux

3. Durant la rééducation, le travail du contrôle neuromusculaire est primordial

4. Grâce à la stabilisation chirurgicale l’appréhension disparait

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Concernant la rééducation de l’instabilité antérieure d’épaule, quelle affirmation est vraie ?

1. La cicatrisation des tissus n’est pas un critère de progression

2. Se fait en 3 phases : aigue, intermédiaire et spécifique au sport

3. Il n’est pas nécessaire de travailler sur l’appréhension

4. La phase de réathlétisation n’est pas sport spécifique

5. Les demandes en termes de force et de mobilité sont les mêmes peu importe le sport pratiqué

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Quelles affirmations sont justes concernant la chaîne cinétique ?

1. Cette approche se concentre sur des schémas de mouvements fonctionnels plus que sur du renforcement musculaire isolé

2. Les exercices en chaîne cinétique facilitent le recrutement des muscles scapulaires et réduisent la demande sur la coiffe des rotateurs

3. Son utilisation en rééducation n’est pertinente que chez les sportifs

4. Cette approche utilise uniquement des exercices du membre inférieur

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Concernant l’instabilité postérieure d’épaule :

1. Elle est plus courante que l’instabilité antérieure

2. Elle provoque généralement moins de douleurs que l’instabilité antérieure

3. Elle peut être en lien avec l’hyperlaxité du patient

4. Son traitement est avant tout chirurgical

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Quel(s) test(s) permet(tent) de mettre en évidence une instabilité postérieure d’épaule ?

1. Test de Jobe

2. Hawkin’s test

3. Jerk test

4. Le test d’appréhension

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Concernant La rééducation de l’instabilité postérieure

1. Il est nécessaire de renforcer les abaisseurs d’épaules

2. Il faut renforcer les rhomboïdes afin de stabiliser la scapula

3. Il est nécessaire d’axer les exercices principalement sur le travail de la coiffe des rotateurs antérieure

4. Il faut que le patient acquière une bonne stabilité scapulaire

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Concernant les mécanismes lésionnels de l’instabilité postérieure

1. Peut se produire en ABD-RE d’épaule

2. Peut se produire en Flexion/ADD/RI d’épaule

3. Peut se produire lors d’un choc direct sur l’avant de l’épaule

4. Peut se produire à un patient lors d’une crise d’épilepsie ou d’une électrocution

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Concernant la rééducation des micro instabilités

1. Il est indispensable de réactiver la coiffe des rotateurs (postérieure en particulier)

2. La rééducation scapulaire doit se concentrer sur les rhomboïdes

3. La chaine cinétique fermée n’a pas montré d’intérêt pour cette rééducation

4. Elle doit s’axer autour du travail musculaire du grand dorsal et du grand rond

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